Henri Girard
Cela fait quelques années maintenant que l’on se connaît. Et Henri Girard reste une des plus belles rencontres que j’ai pu faire depuis que j’ai décidé de prendre ma plume. Je n’aurais pas voulu qu’il devienne un mentor, ou quoi que ce soit qui aurait pu instaurer ce type de relation un peu « verticale » de « maître à élève », relation toujours un peu faussée. Au départ, il était un peu le parrain, celui qui m’a poussée à… À prendre confiance, à tenter l’expérience de l’édition…
Et puis, j’ai eu la chance de publier un roman qu’il n’avait pas vraiment aimé, « Le cabanon jaune ». Je dis la chance, parce que, ainsi, j’ai pu me prouver que je pouvais aussi oser, sans son « aval », et ça, c’était important aussi. C’est vrai quoi !
Enfin, Henri est devenu l’ami de la famille, et surtout celui de Mélina, ma princesse baroque. L’ami des plateaux de fruits de mer partagé, des crises de rigolade, des doutes échangés (enfin surtout de mon côté…), de jolis moments partagés aussi avec mes élèves.
Mieux qu’un parrain, mieux qu’un mentor, un copain, un ami…
Et un sacré écrivain ! Que je vous conseille de découvrir, si ce n’est pas déjà fait.
Et évidemment, j’embrasse Mireille, la complice, qui n’est jamais très loin, précieuse et également très chère à mes yeux.
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